

“LA GARE DU FUTUR”
OCTOBRE 2020
QUIMPER, 29,
MISSION : Création d’une fresque sur le parvis de la gare
COMMANDITAIRE : Cuesta, QBO
INTERVENTION : Animation d’ateliers en centre de loisir, invention et peinture de la fresque
DURÉE DU CHANTIER : 5 jours
ENCORE MERCI : Les enfants, Centre de Loisir Edmond Michelet, Joyce, Stephane et Cuesta !
OCTOBRE 2020
QUIMPER, 29,
MISSION : Création d’une fresque sur le parvis de la gare
COMMANDITAIRE : Cuesta, QBO
INTERVENTION : Animation d’ateliers en centre de loisir, invention et peinture de la fresque
DURÉE DU CHANTIER : 5 jours
ENCORE MERCI : Les enfants, Centre de Loisir Edmond Michelet, Joyce, Stephane et Cuesta !
Dans le cadre de la démarche de médiation urbaine et culturelle accompagnant les travaux de la gare de Quimper, nous sommes invitées à réaliser une fresque avec les enfants (7-9 ans) du centre de loisirs Edmond Michelet, à Quimper.
Nous avons passé une semaine de résidence dans le centre. Par le biais d’un protocole et d’une série d'exercices, à la frontière entre le corps, le mouvement et les arts plastiques, nous avons amené le groupe à imaginer une fresque collective. Une fresque illustrant La Gare du Futur.
Embarqué·e·s dans un train imaginaire, nous mettons nos corps en action pour explorer l’espace et l’imaginaire collectif autour de la gare. En énonçant ce que l’on connaît de la gare d’aujourd’hui, on imagine demain : on discute avec les élèves des métiers de la gare, de leur évolution, de l’architecture, de la manière dont on voyage et on voyagera...
À nos crayons ! Toutes ces grandes idées demandent désormais à être traduites par le biais d’une série de croquis. Les idées fusent, plus ou moins réalistes, les enfants prennent à coeur leur rôle d’architecte de demain : ici une balançoire suspendue au ciel, une potager sur le toit de la gare, de la végétation magique, un train intergalactique, des systèmes de récupération d’eau de pluie et de contrôle de la météo.
Les enfants racontent alors :
« C’est l’histoire de Bonhomme qui s’en va à la gare lapin pour partir en vacances au parc d’attraction. Mais il lui arrive une aventure. Il loupe le train, alors il touche la plante magique et HOP ! Il retrouve son train. Il monte dans le train et s'assoit sur un chewing-gum sur le siège. Un robot patate bloque le train, pète sur le chewing-gum et s’envole vers une autre planète. Là, il y a un arrêt dans une autre gare, où il y a un hippopotame qui mange les téléphones. Bonhomme a un petit peu peur. Mais le supercopter de secours sauve le bonhomme qui chasse l'hippopotame. L’arrêt est fini, le train repart vers Mars. Il rencontre des extraterrestres gentils mais avec des pistolets. Leur métier c’est constructeur·rice de rails, de train et de gare. Les extraterrestres ont des ailes.
Puis Bonhomme repart au pays des pokémons où Pikachu conduit les trains aidé par Solgaléo. Et il y a toujours ici le soleil robot même au camping et à la plage.
Le train de bonhomme arrive enfin au parc d'attractions mais il a faim, alors il prend un train volant pour aller chez un cuisinier bizarre, sans ventre et sans pieds. Le cuisinier prépare un gâteau aux poissons, une araignée veut aussi le gâteau alors ils partagent. Ils pensent « Berk », je préfère le gâteau au chocolat, et après comme il a le ventre plein, il rentre chez lui. »
Nous avons passé une semaine de résidence dans le centre. Par le biais d’un protocole et d’une série d'exercices, à la frontière entre le corps, le mouvement et les arts plastiques, nous avons amené le groupe à imaginer une fresque collective. Une fresque illustrant La Gare du Futur.
Embarqué·e·s dans un train imaginaire, nous mettons nos corps en action pour explorer l’espace et l’imaginaire collectif autour de la gare. En énonçant ce que l’on connaît de la gare d’aujourd’hui, on imagine demain : on discute avec les élèves des métiers de la gare, de leur évolution, de l’architecture, de la manière dont on voyage et on voyagera...
À nos crayons ! Toutes ces grandes idées demandent désormais à être traduites par le biais d’une série de croquis. Les idées fusent, plus ou moins réalistes, les enfants prennent à coeur leur rôle d’architecte de demain : ici une balançoire suspendue au ciel, une potager sur le toit de la gare, de la végétation magique, un train intergalactique, des systèmes de récupération d’eau de pluie et de contrôle de la météo.
Les enfants racontent alors :
« C’est l’histoire de Bonhomme qui s’en va à la gare lapin pour partir en vacances au parc d’attraction. Mais il lui arrive une aventure. Il loupe le train, alors il touche la plante magique et HOP ! Il retrouve son train. Il monte dans le train et s'assoit sur un chewing-gum sur le siège. Un robot patate bloque le train, pète sur le chewing-gum et s’envole vers une autre planète. Là, il y a un arrêt dans une autre gare, où il y a un hippopotame qui mange les téléphones. Bonhomme a un petit peu peur. Mais le supercopter de secours sauve le bonhomme qui chasse l'hippopotame. L’arrêt est fini, le train repart vers Mars. Il rencontre des extraterrestres gentils mais avec des pistolets. Leur métier c’est constructeur·rice de rails, de train et de gare. Les extraterrestres ont des ailes.
Puis Bonhomme repart au pays des pokémons où Pikachu conduit les trains aidé par Solgaléo. Et il y a toujours ici le soleil robot même au camping et à la plage.
Le train de bonhomme arrive enfin au parc d'attractions mais il a faim, alors il prend un train volant pour aller chez un cuisinier bizarre, sans ventre et sans pieds. Le cuisinier prépare un gâteau aux poissons, une araignée veut aussi le gâteau alors ils partagent. Ils pensent « Berk », je préfère le gâteau au chocolat, et après comme il a le ventre plein, il rentre chez lui. »















